top of page
Roman Terminus

 Achat en ligne 

Revue de presse, roman TERMINUS

 

☆☆☆1/2

« Nathalie Lagacé a un talent inné pour peindre la faune urbaine qui sillonne la ville à toute heure du jour et de la nuit, lui reproche ses retards et l’accuse d’être surpayée. C’est à travers une écriture vraie, sans vernis, qu’elle dévoile les coulisses d’un métier « dans l’ombre des foules, là où on se sent seul », et dénonce le « chacun-pour-soi » qui gangrène selon elle la société. Plus jamais ne verrons-nous les chauffeurs d’autobus de la même façon après cette lecture tout indiquée pour oublier une journée maussade au travail. À conseiller à tous les habitués des transports en commun… et à lire de préférence dans l’autobus ! »

Laila Maalouf, La Presse+, octobre 2016, Les critiques de la semaine, Journal d'un métier

☆☆☆☆

https://www.babelio.com/livres/Nathalie-Terminus/937646

 

« Terminus brille grâce à son sujet singulier, largement ignoré par la littérature contemporaine, soit celui du travail et de ce cul-de-sac d’aliénation devant lequel se retrouveront ceux qui ne savent envisager comme conséquence tolérable de nos vies effrénées l’absence de politesse et de compassion envers son prochain. »

Dominic Tardif, Le Devoir, novembre 2016, Vitrine du livre, Terminus

 

« Ce livre pourrait se lire rapidement, mais la plume de l'auteure est si poétique, si belle, que je ne pouvais faire autrement que de prendre mon temps. Bien que ce ne soit pas un récit teinté de bonheur, la façon que Nathalie Lagacé nous dépeint la réalité des transport en commun est si réaliste et si bien exécutée, qu'on ne peut faire autrement que d'apprécier cette lecture. »

Mélanie Dupont, Bookivores, novembre 2016, Terminus
 

 

« Il y a beaucoup de déplacements dans ce roman, mais autant de voyages au cœur de l’humain, dans sa beauté comme dans sa petitesse égoïste… L’habileté avec laquelle la narratrice fait alterner les situations désespérantes ou cocasses et les scènes d’intimité nous rappellent que tous ces chauffeurs que nous fréquentons si souvent exercent un métier bien plus exigeant que certains pourraient le croire. »

Chrystine Brouillet, Salut Bonjour, 10 septebre 2016, Pour un retour en douceur...

 

 

« Terminus, un roman coloré, inspiré d'anecdotes réelles, qui vous transportera aux bords parfois délavés d'une humanité fade et peu engageante tantôt lumineuse et inspirante. Un premier roman réussi dans le huis clos d'une carrosserie. »

Éric Chouan, Mission encre noire Tome 18 Chapitre 226, 6 septebre 2016, C'est la rentrée sur les ondes de Choq.ca

 

« Comme elle est illustratrice, elle a su par son talent d’observation mettre en mots son quotidien. Et savez-vous quoi ? Ça donne de croustillantes aventures qu’elle transpose dans la peau d’un personnage prénommée Anne. Ça chevauche entre la nouvelle et le récit. On se fout de la catégorie, nous ce qu’on a adoré, c’est que ce premier roman au titre opportun Terminus annonce une vocation à suivre. Désormais, usagers des transports publics, ne regardez plus les chauffeurs d’autobus avec condescendance. Il se cache peut-être un grand artiste comme celle qu’il nous est donné de lire. »

Culture Hebdo, août 2016, La  graphiste qui illustre aussi en mots

 

« Si vous trouvez que votre conducteur (rice) d’autobus a l’air bête, allez lire Terminus, premier roman de Nathalie Lagacé, qui a travaillé sept ans comme conductrice à la STM. Vous comprendrez. D’une plume vitriolique, elle décrit les usagers impolis, ingrats, qui ignorent les salutations ou qui se plaignent du temps nécessaire pour embarquer un handicapé. Le siège de pilotage où l’on macère dans ses fluides par temps chaud, faute de climatisation. La circulation chaotique et le couple qui prend le bord. Un roman qui devrait être offert par la STM avec toute nouvelle carte OPUS! »

Mathias Marchal, Journal Métro, 26 août 2016, Cette semaine, Métro craque pour…

 

« Un roman d'une centaine de pages, mais très touchant. On ne peut imaginer ce qu'est la vie d'une "chauffrette" comme la nomme parfois certains voyageurs. Avec TERMINUS, Nathalie ouvre une porte sur la façon de voir la vie de tous les jours, dans des métiers exigeants pour les femmes. Je lui dit, continue Nathalie, c'est un bon début ! »

Suzanne Ferland

France Bergeron, Paroles d'auteurs, MAtv et TVR9, mars 2017, épisode 230

bottom of page